Tout savoir sur le collagène : le guide ultime

Collagène Mulebar avec sa tasse de café

On en parle partout : sur les réseaux sociaux, dans les salles de sport et jusque dans les cabinets de dermatologie. Le collagène est devenu la star incontestée des compléments alimentaires. Mais est-ce un simple effet de mode ou une véritable nécessité biologique ?

Si vous vous demandez quelle est la différence entre le collagène marin et bovin, si cela fonctionne vraiment pour les rides ou les tendinites, et comment le doser, vous êtes au bon endroit.

Voici tout ce que la science dit sur le collagène, sans jargon inutile.

Qu’est-ce que le collagène ? 

Le collagène est la protéine la plus abondante du corps humain. Imaginez-le comme la "colle" qui tient tout ensemble. Il représente environ 30% des protéines totales de notre organisme et il structure notre peau, nos tendons, nos os, nos muscles et nos vaisseaux sanguins. Pas rien non ? 

Pourquoi en manquons-nous ?

Dès l’âge de 25 ans, notre production naturelle de collagène commence à décliner (environ 1% à 1,5% en moins chaque année).

  • À 40 ans, nous en avons perdu une quantité significative.
  • À 60 ans, nos réserves sont drastiquement réduites.

C'est ce déficit qui entraîne l'apparition des rides, le relâchement cutané, les douleurs articulaires et la fragilité des ligaments.

Les 6 bienfaits prouvés du collagène

Pourquoi de plus en plus de monde en prend ? Voici les effets validés par les études cliniques récentes :

Anti-âge et beauté de la peau

C'est la raison n°1 des achats. La supplémentation en collagène améliore l'élasticité de la peau, l'hydratation et réduit la profondeur des rides. Il aide à "repulper" le derme de l'intérieur (cf schéma ci dessus).

Santé articulaire et tendineuse (Sport)

Pour les sportifs (musculation, course à pied, CrossFit), le collagène est crucial. Il renforce les tissus connectifs (tendons et ligaments), réduisant le risque de blessure et accélérant la récupération après une tendinite.

Soulagement de l'arthrose

Des études montrent que le collagène (notamment le Type II) peut réduire les douleurs liées à l'arthrose et améliorer la mobilité articulaire chez les personnes âgées.

Masse musculaire

Combiné à un entraînement en résistance, il aide à combattre la perte de muscle liée à l'âge.

Cheveux et Ongles

Il apporte les acides aminés nécessaires (glycine, proline) pour renforcer la kératine, rendant les ongles moins cassants et les cheveux plus résistants.

Collagène et digestion : un soutien potentiel pour l’intestin

Le collagène suscite un intérêt croissant pour son rôle possible dans la santé digestive, notamment dans les troubles de la perméabilité intestinale, souvent désignée sous le nom de leaky gut. Les acides aminés spécifiques du collagène, comme la glycine, la glutamine et la proline, participent à la réparation et à la cohésion de la paroi intestinale. Ils pourraient aider à renforcer les jonctions entre les cellules qui tapissent l’intestin, améliorant ainsi la barrière digestive et réduisant l’inflammation locale. Cette action de soutien contribue aussi à une meilleure digestion et à une assimilation plus efficace des nutriments. Sans être un traitement, le collagène s’intègre de plus en plus dans une approche globale du bien-être intestinal, aux côtés d’une alimentation équilibrée, d’une bonne hydratation et d’un mode de vie sain.

Le collagène, difficile de s'y retrouver

Collagène de type I, II et III lequel choisir ?

Il existe plusieurs types de collagène, chacun ayant un rôle spécifique dans l’organisme.

  • Le collagène de type I est le plus abondant : il compose la peau, les os, les tendons et les ligaments. C’est celui à privilégier pour améliorer la fermeté de la peau, renforcer les tissus conjonctifs et soutenir la récupération sportive, notamment chez les coureurs et les athlètes d’endurance.
  • Le collagène de type II, lui, se concentre dans les cartilages et s’adresse davantage aux personnes souffrant d’inconfort articulaire ou cherchant à préserver la souplesse des articulations.
  • Le collagène de type III accompagne souvent le type I, car il structure les organes et favorise une meilleure élasticité des tissus. Pour une pratique sportive ou un objectif de performance, le combo types I + III est généralement le plus pertinent, tandis que le type II est idéal pour cibler spécifiquement la santé des articulations.

Collagène Marin ou Bovin : quelles différences

C'est la question la plus fréquente. La réponse dépend de vos objectifs.

Caractéristique Collagène Marin (Poisson) Collagène Bovin (Bœuf)
Source Peau, arêtes et écailles de poissons Peau, os et cartilage de bovins
Type dominant Type I (Similaire à celui de la peau humaine) Type I et III (Parfois Type II pour le cartilage)
Absorption Souvent jugée légèrement supérieure (molécules plus petites) Très bonne si hydrolysé
Meilleur pour... La peau, les cheveux, l'anti-âge Les intestins, la récupération globale, les articulations
Prix Généralement plus cher Souvent plus abordable

Pour un objectif purement esthétique (rides, éclat), privilégiez le marin. Pour un objectif santé globale, budget serré ou récupération articulaire lourde, le bovin est excellent.

Existe-t-il du collagène Vegan (à base d'algues) ? 

Techniquement, non. Le collagène est une protéine animale. Les produits vendus comme "collagène vegan" sont en réalité des boosters (mélanges de vitamines et acides aminés) censés aider votre corps à produire son propre collagène, mais ce n'est pas du collagène pur.

Comment bien choisir son collagène ? (Critères de Qualité)

Ne vous faites pas avoir par le marketing. Vérifiez ces 3 points sur l'étiquette :

  1. Hydrolysé (ou Peptides de collagène) : Le collagène natif est une molécule trop grosse pour être digérée. Il doit être "découpé" en peptides (par le procédé d'hydrolyse) pour passer la barrière intestinale. Assurez-vous que la mention "hydrolysat" ou "peptides" est présente sur l'emballage.

  2. Le poids moléculaire : Il se mesure en Daltons (Da). Visez un poids faible, idéalement inférieur à 2000 ou 3000 Daltons, pour une absorption maximale (le fameux label Naticol ou Peptan est un gage de qualité). Une molécule de collagène fait 30 000 Da à l'état brut.

  3. La présence de Vitamine C : La vitamine C est indispensable à la synthèse du collagène dans le corps. Si votre poudre n'en contient pas, prenez un fruit ou un comprimé de vitamine C en même temps.

  4. L'origine des poissons pour le collagène marin : Plusieurs labels et certifications sont reconnus comme garants d’une pêche respectueuse des ressources marines. 
    • Marine Stewardship Council (MSC) : le label le plus reconnu à l’international pour la pêche sauvage durable. Il certifie que les poissons proviennent de pêcheries gérées durablement, que les stocks sont préservés et que les impacts environnementaux sont réduits. 
    • Friend of the Sea (FoS) : un label européen / international qui couvre à la fois la pêche sauvage et l’aquaculture. Il vérifie que les poissons ou les produits marins utilisés respectent des normes strictes de durabilité, de préservation des espèces et de traçabilité.
    • Aquaculture Stewardship Council (ASC) — surtout pertinent si le collagène marin provient d’élevage : ce label certifie une aquaculture responsable, respectueuse de l’environnement, des populations marines et des bonnes pratiques d’élevage.
    • Pêche Durable (label français) : pour des produits issus de pêcheries françaises respectant des critères de durabilité, d’impact environnemental limité et de bonnes pratiques halieutiques.

    Dosage du collagène : combien de grammes par jour ?

    Oubliez les gélules qui contiennent souvent des micro-doses (500mg). Les études sont claires : il faut de la quantité.

    • Pour la peau : 2,5g à 5g par jour.
    • Pour les articulations et le sport : 10g à 20g par jour.

    Privilégiez la poudre plutôt que les gélules. Pour obtenir 10g de collagène, il vous faudrait avaler 20 gélules géantes ! Une dosette de poudre dans un verre d'eau est bien plus simple.

    Le collagène fait-il grossir ? 

    Non. C'est une protéine pure, très peu calorique (environ 36 kcal pour 10g). Il peut même aider à la satiété.

    Quand faut-il le prendre ? 

    Le timing importe peu. Le matin dans un café, l'après-midi dans un yaourt ou le soir. L'important est la régularité.

    Au bout de combien de temps voit-on les effets ? 

    Ce n'est pas magique.

    • Peau : Premiers résultats après 4 à 8 semaines.
    • Articulations : Comptez 3 à 6 mois de prise quotidienne pour ressentir un soulagement durable.

    Dans quels aliments trouve-t-on du collagène naturellement ?

    Le collagène se trouve principalement dans les aliments d’origine animale, car il constitue une grande partie des tissus conjonctifs. On en retrouve dans la peau, les os, les cartilages et les tendons des animaux. Les meilleures sources naturelles sont donc le bouillon d’os, les viandes riches en collagène (jarret, joue, queue de bœuf), la peau de poulet, la peau de poisson et certains abats. Ces aliments libèrent du collagène lorsqu’ils sont cuits longuement, notamment dans les bouillons ou mijotés. Bien que les végétaux ne contiennent pas de collagène, ils apportent des nutriments essentiels comme la vitamine C, le cuivre, le zinc nécessaires à sa synthèse dans l’organisme. Une alimentation variée, associant sources animales et micronutriments végétaux, contribue ainsi à soutenir naturellement la production de collagène.

    Quels sont les dangers ou effets secondaires ?

    Le collagène est généralement bien toléré, mais comme tout complément, il peut entraîner certains effets secondaires chez une minorité de personnes. Les plus courants sont de légers troubles digestifs : ballonnements, inconfort abdominal ou sensation de lourdeur, surtout avec des doses élevées ou des collagènes de faible qualité.

    Les personnes allergiques au poisson ou aux produits marins doivent être particulièrement vigilantes, car la plupart des collagènes marins proviennent de la peau ou des arêtes de poissons. Certains utilisateurs peuvent également observer une légère modification de l’appétit ou de la satiété.

    De manière générale, les risques demeurent faibles, mais il est important de choisir un collagène traçable, purifié, certifié, et de commencer par de petites doses pour évaluer sa tolérance individuelle. En cas de pathologie, de grossesse ou de traitement médical spécifique, un avis professionnel est recommandé.

    Pourquoi choisir le collagène Mulebar ?

    Choisir le collagène marin Mulebar, c'est faire le choix d'une qualité premium et d'une efficacité scientifiquement validée pour soutenir votre corps au quotidien.

    Formulé à partir de collagène Naticol® de types I et III, ce complément se distingue par sa haute biodisponibilité : grâce à son procédé d'hydrolyse breveté (peptides de faible poids moléculaire d'environ 2000 Da), il est parfaitement assimilé par l'organisme pour agir en profondeur sur vos tendons, ligaments, articulations et votre peau. Idéal pour les sportifs d'endurance comme pour les personnes actives souhaitant mieux vieillir, il favorise la récupération, le confort articulaire et l'élasticité cutanée.

    De plus, Mulebar s'engage sur l'éthique et la transparence avec un produit 100% naturel, fabriqué en France et issu d'une pêche durable certifiée Friend of the Sea.

    Pratique, sa poudre au goût neutre s’intègre facilement à vos boissons ou smoothies, une simple dosette de 5g suffisant pour remplacer une douzaine de comprimés classiques.

     

    Le collagène n'est pas seulement un produit de beauté, c'est un allié santé indispensable passé 30 ans, et encore plus si vous êtes sportif. Pour démarrer, choisissez un collagène hydrolysé en poudre, visez 10g par jour, et soyez patient : la clé du succès est la constance.

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